tic tac, tic toc
tic
tac
tic
tac
tic
tac
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...
BoUm !
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tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
tic
tac
...
BoUm !
La
fleur en mal d’amour fut montrée du doigt, huée, haït ; On lui jeta des
ordures, tous la considérait comme tel. La fleur solitaire pourrissait. Vine en
elle la déception, la solitude et le désespoir. Elle se pensait perdue à
jamais. L’hiver arriva au triple gallot et sa brise glaciale fit perde la
dernière lueur d’espoir de Cally, La reine des Ombres. Entre la vie et la mort
son destin était plus que trouble. Tous la pensaient perdue à jamais. Le temps
s’écoula, on l’oublia. Le magnifique jardin, champ de bataille était devenue
terrain vague.
Des constructions doucement
se rapprochaient sans toutefois
atteindre les alentours du jardin disparu, ce lieu était chargé d’une énergie
top puissante. De plus les légendes qu’on racontait faisaient peur. Personne n’aimait s’en approcher.
Un
matin, Marcel le jardinier, romantique d’esprit, robuste de chair, se promenait
dans ce charmant hameau un peu perdu. Il ressentait des émotions comme jamais
il n’en avait ressentit auparavant. C’était un arc en ciel d’émotion qui se
battait dans son cœur d’artichaut. Il cheminait en ayant la sensation de
chercher quelque chose.
Pourquoi ?
ce choix s'est de nouveau porté sur moi
Je sais au fond de moi que je ne le méritais pas
Le sort s'acharne quand naît l'opinion
Et soudain je me pose la question
Qu'ai je bien pu commettre pour entendre ces sornettes
certes je ne suis pas parfaites
Mais parfois je dois admettre
Que vous n'êtes pas tout le temps honnêtes
Pourquoi ?
Je ne sais pas ....
Peut de temps après,
d’autres Lys, blancs, virent le jour. Ces fleurs s’aimaient, mais peu à peu le
malais s’installa. Un lys noir, nommé Callyoppée se sentit de plus en plus isolé. Un jour
Cally - tel était son Surnom -, explosa de Rage. Pourquoi, mais pourquoi était
elle laissée pour compte ? Des épines Rouges poussèrent. Ses feuilles et
ses pétales s’aiguisèrent. Les autres fleurs étaient glacées par l’effroi. Cally était si triste à l’intérieur, emplit
d’une haine sauvage à l’extérieur. Les fleurs peu à peu s’éloignèrent,
lentement se fanèrent. Me si charmant jardin d4den était devenu champ de
bataille. Les fleurs-soldats gisaient à Terre et seule Callyoppée - la guerrière
de l’Ombre -, Reine de rage criait sa
haine dans un torrent de pleurs. Cela se sut et fit grand bruit.
Le roi ne s’en remit jamais. Avec les années, il finit par s’aigrir. Les
pensées les plus sombres germèrent dans son esprit. Il décida d’anéantir le
jardin de fleurs de Lys. Fou de rage, aveugle de colère, il avançait rapidement
vers le jardin, sans savoir ce qu’il faisait. Une voix en lui le guidait. Une
fois au milieu du jardin, il sortit son épée de cristal et dans une danse macabre,
assassina les Lys, un a un. Une fois le méfait accomplit, il marcha lentement
vers l’entrée du jardin d’Eden. C’est à ce moment là qu’il comprit ce qu’il
venait de faire. Il planta sa maudite épée dans son cœur brisé, et peu à peu la
vie en lui s’échappa pour lentement atteindre la voûte céleste ; de ce
massacre, il ne resta qu’une graine, qui
reçu une goutte du sang du Roi. Une centaine d’année s’écoulèrent.
Tout
le monde avait oublié l’histoire tragique du Roi au destin brisé par l’amour. La graine tâchée du sang
du roi, lentement s’éveilla. Elle sentit la fraîcheur d’une brise légère et
l’humidité de la rosée du matin ? Peu à peu, elle grandit. Ce Lys
contrairement aux autres était noir, comme la noirceur de l’univers brisé par
la vie. Mais cette fleur était belle,
resplendissante.
Un roi
au cœur froid et brisé, ne supportait pas l’amour, la tendresse et la beauté.
Sa chère Reine aujourd’hui disparue l’aimait de l’amour le plus tendre et
sincère qu’on puisse offrir. Chaque jour elle l’aimait, chaque nuit, elle le
haïssait en secret. Chaque matin, en
revenant de sa promenade quotidienne, elle cueillait une fleur de lys, qu’aussitôt elle
chérissait. Elle la déposait délicatement dans la salle de bal, dansait une
valse ou deux, seule, déposait un tendre baiser sur le Lys, puis partait, comme
elle était venue. Un jour, la Reine ne trouva point de Lys. Sa colère, noire,
fut terrible. Le Roi, surpris et effrayé, n’oser ni bouger, ni respirer. Elle
cracha son venin dans une marre de haine, gifla le roi, et au portes du
château, s’empoisonna par l’essence d’un lys séché, quelle portait toujours sur
elle.
Mais si tu étais là,
Choisirais tu ces roses ou ces lilas ?
Mais si tu étais là,
Me prendrais tu dans tes bras ?
Me couvrirais tu de poussière d'étoile ?
Tes baisers seraient ils enrobés d'or ?
Car quand tu n'es plus là mes yeux se voilent
Mon cœur me supplie de l'envoyer dans le décor,
Mon âme se tort dans un désir de mort
Mon corps ardent devient impatient
Comme tes déclaration qui nous unissent au firmament.
Où est le Prince Charmant ?
Se trouve-t-il au firmament ?
Est il le dernier des amants ?
Qui est le prince Charmant ?
Est il cet homme au cœur ardant ?
Ou celui au yeux passionnant ?
Mon prince charmant n'est ni ardant, ni déchirant
Il est tout simplement craquant
Il n'est pas au firmament
Mais au coin de ce tournant
Il m'attend
Impatient
Il est simplement
L'Empereur de Mon Cœur